Le 18 novembre, j’effectue à nouveau une demi-journée à Lurcy. Je m’y rends avec les Nitron en plus par rapport à la dernière fois mais les semi-slicks en moins.
En théorie, le gain apporté par les SS est environ deux fois supérieur à celui qu’offre les Nitron (1 seconde au tour pour les Nitron, jusqu’à 2 secondes grâce aux SS). Je m’attends donc à tourner moins vite que mes 1’19″49 de la fois précédente mais contre toute attente, j’améliore d’une seconde avec un 1’18″55. Cette fois-ci, je suis satisfait. L’auto se comporte beaucoup mieux côté châssis.
Essai Tesla Roadster sur piste
En parallèle, mon ami Benoit m’a prêté sa Tesla Roadster 2.5 pour un essai piste. La différence de chrono est sensible : 1’25″10 en Tesla / 1’18″55 en Lotus :
- Vitesse moyenne : 108 en Tesla / 117 en Lotus
- Vitesse minimale : 45 en Tesla / 55 en Lotus
- Vitesse maximale : 174 en Tesla / 179 en Lotus
La on voit que la Lotus est plus rapide dans le très technique (passe plus vite) grâce à son poids. En vmax l’écart se réduit grâce à la puissance supplémentaire de la Tesla.
La différence de point de freinage au bout de la ligne droite est incroyable ! Quand moi j’atteins ma vmax de 179, j’ai déjà freiné à 150,4 avec la Tesla. Dans la 1ère partie de la grande courbe droite, je suis entre 112 et 139 avec la Tesla contre 141 à 156 avec la Lotus (je rentre donc plus fort dans la courbe, normal je connais mieux ma voiture). Dans ce premier rayon, la vmax de la Tesla est égale à ma vmin. Dans le deuxième rayon du virage, je rentre à 113 avec la Tesla contre 118 avec la mienne pour ressortir à 122 contre 132 pour la mienne. Voilà ce que je peux dire pour le côté technique brut.
Évidemment, ces chiffres n’ont pas une valeur absolue puisque je n’étais pas à la limite avec la Tesla.
Pierre (GT86), Benoit (Tesla Roadster) et Vincent (500 Abarth) étaient de la partie.